Huis clos suivi de La Tapisserie bleue


de

« Huis clos,
Frôler la mort.
Être ramassée par ses enfants,
Survivre dans l’irréalité.

Se voir flotter au dessus. »

 

J’ai témoigné pour ne pas rester dans le silence et dévoiler les choses.
Isabelle
Je l’ai fait pour moi, pour avancer et aider les autres.
Martine
J’ai participé à ce projet pour libérer la parole et enfin être entendue !
Soizic
J’ai témoigné tout d’abord pour mes enfants, aussi pour être entendue et reconnue victime, car je ne me suis jamais sentie écoutée.
Samantha
J’ai choisi de participer à ce projet pour essayer de faire ouvrir les yeux aux gens autrement et pour pouvoir l’exprimer différemment.
Annabelle

 

Stéphanie Pommeret met en exergue les récits collectés auprès de femmes victimes de violences par le biais des mots et des photographies. Hybrides, narratifs et poétiques, ces textes et images oscillent entre réalisme et subconscient. L’analogie tend à se rapprocher au plus près du choc traumatique.
Artiste-plasticienne autodidacte, installée en Côtes d’Armor, son travail protéiforme est exposé en France et à l’étranger.

 

En résidence artistique avec l’association L’Image qui Parle à Paimpol, Stéphanie Pommeret et Patricia Le Calvez ont recueilli des récits de femmes victimes de violences.

L’Image qui Parle place la rencontre, l’échange et le partage au cœur de son intention.

Ces collectages, matière première du travail de création, ont été revisités au travers du prisme artistique. Genèse d’une exposition présentée dans l’espace public, rendant visible l’invisible.

Ce projet a été soutenu par la Région Bretagne, la DRAC, le CIAS de Guingamp-Paimpol Agglomération, le Conseil Départemental des Côtes d’Armor, la CAF des Côtes d’Armor et la ville de Paimpol. En partenariat avec la gendarmerie de Guingamp- Paimpol, et Avec Elles – Association Maison de l’Argoat.

 

quatriemehuisclos

Prix: 17,5 €